Saison 2 Épisode 1 : Un pas en avantKono Oto Tomare! - Saison 2 : Sounds of Life
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4.8/5
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Résumé de l'épisode
Malgré la blessure de Kudô, malgré les doutes des uns et des autres, le club de koto du lycée Tokise est arrivé au bout de sa prestation sur la scène du festival du Kantô, en ne laissant pas indifférents les autres établissement participants.Vient l’heure de l’annonce des résultats, l’angoisse monte !
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Avis sur l'animé Kono Oto Tomare! Sounds of Life - Épisode 1
J'ai juste l'impression d'un énième anime " on est nul mais on va tout déchirer parce que on est dans un manga ".
Les OSTs ne correspondent pas au type d'anime à mon gout. Utiliser des OSTs à base de Kodo ( qui est l'instrument mis en valeur par l'anime ) auraient été un moindre respect pour l'histoire.
Ah et, les dessins c'est bon, on à compris que y'allait avoir encore de la romance un peu partout.
*Owi triture moi la 5eme corde senpai*
Bref ce début de seconde saison commence très bien pour nous remettre dans le bain et nous préparer à la suite.
E revanche je suis d'accord sur un point : on entend pas assez de koto. (J'évite les openning/ending pour le spoil mais j'aimerai enttendre les musique qu'ils jouent)
Et comme d'autre disent, la romance commence à peine qui plus est sur un couple dans tout le groupe, on a de la marge.
De plus là on est plutôt sur du : "On est nul mais on s'est fait déchiré malgré qu'on soit dans un manga."
2) On parle de musique, pas de sport. En musique, le but c'est de faire quelque chose d'agréable, de touchant, de fort, pas "d'être le premier".
1- Je ne suis pas un énorme sportif, mais j'ai fait en club du volley, du tennis, du tennis de table, du badminton, du football. Et ma parole aurait la même valeur si je n'en avais pas fait.
2- La plupart des gens font du sport pour S'AMUSER, pas pour être le meilleur dans un championnat. Pour des sports d'opposition, cela passe nécessairement par la recherche de la victoire, perdre est une déception, mais ça n'est pas le but fondamental de l'inscription en club, pour la plupart des gens, les gens en club de foot par exemple, ne s'inscrivent pas pour gagner chaque match, mais pour être entre potes, faire une activité amusante, se donner physiquement.
3- Là, on parle de musique. Pas d'un sport compétitif. Et c'est justement ce rapprochement systématique au thématiques de la compétition qui m'agacent dans les animes sur des activités qui n'impliquent pas de gagner, mais d'émouvoir, de faire du beau. La recherche toujours de la compétition, au point de faire des tournois de tout et n'importe quoi, c'est une plaie.
En effet, selon le paradigme classique, Doig' réalise un étroit parallèle avec l'allégorie de la Caverne de Platon: ici, les limites de la réalité et de la société entravent l'artiste (et dans cette situation, le gamer cloisonné) et l'empêchent donc de “réaliser ses rêves”.
Doigby rappelle donc un point de vue qui pourrait être partagé avec Luchino Visconti: “le but de l'artiste, c'est tendre vers la beauté, la réalisation d'une perfection et d'un équilibre complet et parfait”.
Le Doig' voit le gamer comme un artiste qui, à travers son art, doit réaliser une oeuvre afin de cheminer vers un reflet de la Vérité inatteignable par l'Homme mais auquel il doig' s'inspirer pour atteindre cet idéal.